Retour en argentine !
Vendredi 18 avril
Et c'est repartie pour un petit résumé ! J'avoue d'ailleurs que certaines journées, comme aujourd'hui par exemple, je n'ai aucuuune envie d'écrire. Personne ne m'y oblige vous me direz mais bon ça devient finalement automatique. Le jour nous réveille aux alentours de 10h... Nous petits yeux sont encore bien endormis, à croire que nous avons besoin de sommeil ! Nos deux loustiques bretons sont encore dans les bras de morphées mais cela n'empêches pas les filles de s'habiller, de faire les sacs, et de partir acheter du pain pour le petit déjeuner de tout le monde. Nous préparons un bon petit dej, Petit chat se fait même des œufs brouillés ! Nous faisons la vaisselle, rangeons peu le salon, nettoyons les "restes" de la soirée de hier soir avant de s'attabler à ce fameux petit déjeuner. Comme dit Julie : "quel est l'intérêt d'avoir deux filles chez soi si elles ne font même pas la vaisselle ?". Emeric nous rejoint après avoir émergé tranquillement tandis que Concombre, enfin Florent, dort encore comme un loir. Nous rigolons encore pas mal rien qu'au petit déjeuner. Il nous faut encore faire deux trois petites bricoles avant de plier bagages et d'aller vers la station de bus. Le bus passe relativement vite puisque les deux chats s'endorment, bien fatigués. Arrivé à colonia, petite machine à laver, petite douche pour ninouche et c'est parti pour un petit tour dans la vieille ville de colonia. Couché de soleil, rues bondées de monde car c'est la semana santa... Fanny se rappelle la Bretagne ! Nous rentrons à l'auberge après avoir acheté de quoi dîner et pendant que Julie se douche, Fanny s'occupe de chercher des couch surfing pour Cordoba, nous avons déjà trouvé pour Rosario. Nous faisons la connaissance d’un couple d'argentine d'une vingtaine d'années en or que nous reverrons à buenos aires lundi soir et dînons tranquillement. Lecture et dodo tôt pour les deux sœurs qui ont besoin de sommeil. Bisous sur les pieds les petits !
Et c'est repartie pour un petit résumé ! J'avoue d'ailleurs que certaines journées, comme aujourd'hui par exemple, je n'ai aucuuune envie d'écrire. Personne ne m'y oblige vous me direz mais bon ça devient finalement automatique. Le jour nous réveille aux alentours de 10h... Nous petits yeux sont encore bien endormis, à croire que nous avons besoin de sommeil ! Nos deux loustiques bretons sont encore dans les bras de morphées mais cela n'empêches pas les filles de s'habiller, de faire les sacs, et de partir acheter du pain pour le petit déjeuner de tout le monde. Nous préparons un bon petit dej, Petit chat se fait même des œufs brouillés ! Nous faisons la vaisselle, rangeons peu le salon, nettoyons les "restes" de la soirée de hier soir avant de s'attabler à ce fameux petit déjeuner. Comme dit Julie : "quel est l'intérêt d'avoir deux filles chez soi si elles ne font même pas la vaisselle ?". Emeric nous rejoint après avoir émergé tranquillement tandis que Concombre, enfin Florent, dort encore comme un loir. Nous rigolons encore pas mal rien qu'au petit déjeuner. Il nous faut encore faire deux trois petites bricoles avant de plier bagages et d'aller vers la station de bus. Le bus passe relativement vite puisque les deux chats s'endorment, bien fatigués. Arrivé à colonia, petite machine à laver, petite douche pour ninouche et c'est parti pour un petit tour dans la vieille ville de colonia. Couché de soleil, rues bondées de monde car c'est la semana santa... Fanny se rappelle la Bretagne ! Nous rentrons à l'auberge après avoir acheté de quoi dîner et pendant que Julie se douche, Fanny s'occupe de chercher des couch surfing pour Cordoba, nous avons déjà trouvé pour Rosario. Nous faisons la connaissance d’un couple d'argentine d'une vingtaine d'années en or que nous reverrons à buenos aires lundi soir et dînons tranquillement. Lecture et dodo tôt pour les deux sœurs qui ont besoin de sommeil. Bisous sur les pieds les petits !
Jeudi 17 avril
Pas besoin de lit king size, de rideaux ou d'un bon oreiller pour bien dormir, non non, le canapé clicclac plutôt petit de nos amis bretons nous a suffit. Après une soirée pleine de rires et de partage, nous avons dormi comme des bébés, comme quoi une bonne ambiance suffit à notre confort. On se réveille donc en douceur et avec le soleil, de quoi nous donner envie de découvrir la capitale. On s'habille rapide et on file acheter de quoi se faire un petit dej : dulce de leche oblige et pain frais, basique mais efficace. Nos amis devaient travailler aujourd'hui, il leur reste encore pas mal de trucs à régler avant de pouvoir ouvrir leur resto, mais ils réalisent très rapidement qu'en ce jour férié ils ne peuvent pas faire grand chose. Et oui, les uruguayens ne déconnent pas avec la semaine sainte les gars ! 4 jours, oui, 4 bons jours de vacances...bon tant pis, il leur faudra mettre les bouchées doubles dès lundi, mais on trouve plutôt cool de pouvoir partager du coup un peu plus de temps ensemble. On file ainsi tous les quatre au marché, de quoi acheter les ingrédients nécessaires à nos repas festins de la journée. Ce midi ce sera eux les chefs cuistots et ce soir, c'est les nanas. Julie a d'ailleurs été renommée Nafissatou depuis la veille au soir. Qu'il n'y ai pas de malentendu, aucune référence stroscannaise la dedans, juste l'humour d'Emeric qui a légèrement déraillé en voyant Chatoune sortir de la douche les cheveux enrubannés dans sa serviette. Comme en plus la grande s'occupe de faire la cuisine pour tous depuis la veille, Julie se voit être définitivement renommée Nafi. Bon, reprenons le cours de la journée. Après le marché, les gars décident de rester gérer quelques petits trucs pour leur affaire alors que nous partons vers visiter la ville. Sur la rambla, on profite quelques instants de la belle vue sur la plage, quelques uruguayens ont sorti le maillot de bain mais on ne voit pas un chat dans l'eau. Le soleil cogne et on prend le bus pour aller se balader dans la vieille ville. Montevideo ressemble vraiment à une capitale européenne et on a du mal à réaliser qu'on est bien en Amérique latine. La partie plus ancienne de la ville est mignonne et les rues sont plutôt tranquilles en ce jour férié. On se balade et on apprécie le charme de cette capitale à taille humaine, remplies de nombreux graffitis très colorés. On en profite aussi pour acheter nos petits drapeaux fétiches à coudre sur nos sacs à dos. Montevideo, on aime bien, oui c'est très européen et pas très dépaysant, mais la magie opère et on aime bien la sérénité qui règne dans cette capitale. Il est déjà 14h et nos estomacs commencent à gargouiller, nous filons donc à la maison retrouver nos deux compères. Florent se met aux fourneaux et nous préparent de supers galettes de sarrasin. Miam Miam Miam, on se régale et Petit chat se remémore sa petite crêperie parisienne où elle va retourner travailler en septembre. Le temps se gâte un peu et comme les garçons ne peuvent pas trop bosser, allez hop, petite partie de cartes ! Moment hilarant entre discutions et inventions de nouvelles règles dans nos jeux de cartes favoris. On ne peut s'empêcher de rire toutes les cinq minutes et mon dieu que ça fait du bien ! Les gars décident ensuite de nous montrer leur local et on leur donne notre avis sur l'agencement du restau. C'est la que la touche féminine est nécessaire et on leur fait revoir toute l'organisation des tables qui ne leur convenait qu'à moitié. On est super contentes de pouvoir participer un peu à leur projet, et on espère pouvoir revenir un jour voir comment tourne leur affaire. Fanny décide ensuite de partir faire un footing pendant que Jul, qui commence à se sentir elle aussi un peu prise du nez et de la gorge, reste tranquille devant Pékin express. Grosse pensée pour son papou devant cette émission fétiche, d'autant plus que la grande réalise qu'à des moments ce tour du monde c'est un peu Pékin express. Il est 19h quand on se retrouve tous à l'appart, Nafi en cuisine pendant que Fanny prend sa douche et que les mecs jouent au tarot. Le menu de ce soir est le suivant : vin rouge pomme et fromage en apéro, crumble de légumes salade et pavé à la cannelle. La soirée commence tranquillement, Nafi est un peu crevée et un peu à l'ouest ces derniers jours, Fanny retrouve petit à petit un peu d'énergie mais pour les deux, la simplicité de nos amis est un vrai bonheur. On rigole et on picole (pas trop quand même car l'une est sous médoc et l'autre en train de tomber malade). Chatoune s'écroule de sommeil très vite après le dîner, Petit chat continuant de rire avec nos amis qui resteront à discuter jusqu'à 4 h du mat. Petit rappel que nous dormons sur le canapé dans le salon et que même si la fatigue nous emporte, nous continuons d'entendre nos deux compères dans leurs folles discussion et nôtres sommeil est un peu discontinu. Qu'à cela ne tienne, vers 4h30, nous plongeons dans les bras de Morphée.
Pas besoin de lit king size, de rideaux ou d'un bon oreiller pour bien dormir, non non, le canapé clicclac plutôt petit de nos amis bretons nous a suffit. Après une soirée pleine de rires et de partage, nous avons dormi comme des bébés, comme quoi une bonne ambiance suffit à notre confort. On se réveille donc en douceur et avec le soleil, de quoi nous donner envie de découvrir la capitale. On s'habille rapide et on file acheter de quoi se faire un petit dej : dulce de leche oblige et pain frais, basique mais efficace. Nos amis devaient travailler aujourd'hui, il leur reste encore pas mal de trucs à régler avant de pouvoir ouvrir leur resto, mais ils réalisent très rapidement qu'en ce jour férié ils ne peuvent pas faire grand chose. Et oui, les uruguayens ne déconnent pas avec la semaine sainte les gars ! 4 jours, oui, 4 bons jours de vacances...bon tant pis, il leur faudra mettre les bouchées doubles dès lundi, mais on trouve plutôt cool de pouvoir partager du coup un peu plus de temps ensemble. On file ainsi tous les quatre au marché, de quoi acheter les ingrédients nécessaires à nos repas festins de la journée. Ce midi ce sera eux les chefs cuistots et ce soir, c'est les nanas. Julie a d'ailleurs été renommée Nafissatou depuis la veille au soir. Qu'il n'y ai pas de malentendu, aucune référence stroscannaise la dedans, juste l'humour d'Emeric qui a légèrement déraillé en voyant Chatoune sortir de la douche les cheveux enrubannés dans sa serviette. Comme en plus la grande s'occupe de faire la cuisine pour tous depuis la veille, Julie se voit être définitivement renommée Nafi. Bon, reprenons le cours de la journée. Après le marché, les gars décident de rester gérer quelques petits trucs pour leur affaire alors que nous partons vers visiter la ville. Sur la rambla, on profite quelques instants de la belle vue sur la plage, quelques uruguayens ont sorti le maillot de bain mais on ne voit pas un chat dans l'eau. Le soleil cogne et on prend le bus pour aller se balader dans la vieille ville. Montevideo ressemble vraiment à une capitale européenne et on a du mal à réaliser qu'on est bien en Amérique latine. La partie plus ancienne de la ville est mignonne et les rues sont plutôt tranquilles en ce jour férié. On se balade et on apprécie le charme de cette capitale à taille humaine, remplies de nombreux graffitis très colorés. On en profite aussi pour acheter nos petits drapeaux fétiches à coudre sur nos sacs à dos. Montevideo, on aime bien, oui c'est très européen et pas très dépaysant, mais la magie opère et on aime bien la sérénité qui règne dans cette capitale. Il est déjà 14h et nos estomacs commencent à gargouiller, nous filons donc à la maison retrouver nos deux compères. Florent se met aux fourneaux et nous préparent de supers galettes de sarrasin. Miam Miam Miam, on se régale et Petit chat se remémore sa petite crêperie parisienne où elle va retourner travailler en septembre. Le temps se gâte un peu et comme les garçons ne peuvent pas trop bosser, allez hop, petite partie de cartes ! Moment hilarant entre discutions et inventions de nouvelles règles dans nos jeux de cartes favoris. On ne peut s'empêcher de rire toutes les cinq minutes et mon dieu que ça fait du bien ! Les gars décident ensuite de nous montrer leur local et on leur donne notre avis sur l'agencement du restau. C'est la que la touche féminine est nécessaire et on leur fait revoir toute l'organisation des tables qui ne leur convenait qu'à moitié. On est super contentes de pouvoir participer un peu à leur projet, et on espère pouvoir revenir un jour voir comment tourne leur affaire. Fanny décide ensuite de partir faire un footing pendant que Jul, qui commence à se sentir elle aussi un peu prise du nez et de la gorge, reste tranquille devant Pékin express. Grosse pensée pour son papou devant cette émission fétiche, d'autant plus que la grande réalise qu'à des moments ce tour du monde c'est un peu Pékin express. Il est 19h quand on se retrouve tous à l'appart, Nafi en cuisine pendant que Fanny prend sa douche et que les mecs jouent au tarot. Le menu de ce soir est le suivant : vin rouge pomme et fromage en apéro, crumble de légumes salade et pavé à la cannelle. La soirée commence tranquillement, Nafi est un peu crevée et un peu à l'ouest ces derniers jours, Fanny retrouve petit à petit un peu d'énergie mais pour les deux, la simplicité de nos amis est un vrai bonheur. On rigole et on picole (pas trop quand même car l'une est sous médoc et l'autre en train de tomber malade). Chatoune s'écroule de sommeil très vite après le dîner, Petit chat continuant de rire avec nos amis qui resteront à discuter jusqu'à 4 h du mat. Petit rappel que nous dormons sur le canapé dans le salon et que même si la fatigue nous emporte, nous continuons d'entendre nos deux compères dans leurs folles discussion et nôtres sommeil est un peu discontinu. Qu'à cela ne tienne, vers 4h30, nous plongeons dans les bras de Morphée.
Mercredi 16 avril
L'envie de faire pipi de Petit Chat est bien plus forte que le sommeil et, c'est connu, une fois réveillé : impossible de se rendormir. Il n'est pas encore 9h lorsque les deux sœurs s'assoient à la table du petit déjeuner, chocolat chaud (ça faisait tellement longtemps!!) en mains ! Notre ami Emeric, un des deux breton, nous tient compagnie et Florent, surnommé Pepino à cause de sa tête de concombre (cela nous a fait beaucoup rire hier d'apprendre ce surnom!), nous rejoint encore à moitié endormi. Nous riions sans cesse encore pendant ce petit déjeuner, ça n'arrête pas depuis hier soir : ces deux trentenaires que l'on a tendance à prendre pour un couple, à tort, sont de vrais clowns. Et je vous assure les amis, le rire n'est pas uniquement bon pour les abdos mais surtout pour le moral. Et le moral nous l'avons ! Fanny trouve que Chatoune est plutôt dans ses pensées en ce moment cela dit. Confirmation de la grande quand a la remarque de la petite! Nous finissons ce petit déjeuner fort agréable avant de remonter dans nos chambres. Il nous faut maintenant faire... Roulement de tambours.... Vous allez être surpris.... Tintintintiiiiin..... Le... CHECK OUT !!! Ahah, on se brosse les dents, on s'habille, on boucle les sacs, on paie, on laisse les sacs à l'accueil ; bref, comme d'hab quoi. Bon ok, j'omet de parler de notre petit quart d'heure américain qui annonce l'ambiance de la journée et qui nous a fait bien rire ! À peine sortie du petit déjeuner et avant la fameuse "opération Check out" du jour, les deux chats se mettent à faire une soirée mousse (sans mousse) en soutient gorge, dans le dortoir (je précise que personne d'autre ne se trouve dans notre dortoir!), et dansent l'air de rien sur leur musique du voyage : get Free de major lazer que je vous conseille d'écouter ! Bref, cet épisode épisodique (hihi) passé, les deux chats partent à la pêche aux tickets de bus pour montevideo. Du à une poucinite (tendinite du pouce) nous avons décidé d'arrêter le stop. Non je déconne ! (Quel humour aujourd'hui mes petits, quel humour!). Pour redevenir sérieuse, je vous expliquerais plutôt que nos deux gentils bretons nous ont proposé de nous loger pendant notre séjour à montevideo et plutôt que de se galerer à faire du stop alors que le bus ne coûte rien et que nous n'avons pas à payer l'auberge, nous préférons profiter de la journée ensoleillée et de ne partir qu'en début de soirée. Retour à l'auberge, nous papotons avec nos nouveaux potos : Vanessa l'uruguayenne, Leila la finlandaise, Victor l'équatorien et les deux petits bretons Emeric et Florent alias Papito y Pepino. Nous partons presque tous en vélo, prêtés par l'hostel, tandis que deux prennent la moto que Victor a loué. Les vélos, les enfants, sont réellement bien pourris. Du genre "pourris de chez pourris" ! Au bout de 5 minutes de pédalage artistique, car oui cela relève de l'art, Julie déraille et se voit obligée de monter à l'arrière de la moto avec les deux autres. Quant au vélo de Fanny c'est simple : la selle est si basse qu'un nain de jardin pourrait monter dessus, le guidon ne tourne absolument pas, les freins de fonctionnent pas et la selle se tournent vers l'arrière. Malheureusement la petite n'a ni un derrière en polystyrène pour supporter la selle, ni des pieds élastiques pour pouvoir freiner et dépense énormément d'énergie rien que pour tenir sur ce vélo. Ceux des autres ne sont pas beaucoup mieux et la destination n'est pas tout près. Nous allons voir des arènes! Arrivés à 5 mins des arènes après un trajet laborieux mais plutôt rigolo, sous le soleil, nous nous posons un peu sur la magnifique plage de colonia avant de repartir voir ces fameuses arènes. Super balade ! Nous rentrons par la suite à l'auberge, nous deux sur la moto car nous avons décidé que l'on ferait plusieurs tours en moto pour ramener tout le monde car l'allée était un peu laborieuse. Nous rentrons donc acheter de quoi déjeuner. La viande est tellement pas cher et bonne que nous prenons une bonne entrecôte avec une salade verte et quelques petits légumes : ce qui ne nous coûte pas beaucoup plus que 5euros. Nous rentrons cuisiner ce festin, accompagné du maté, fameux compagnon de voyage de Fanny ! Fanny part ensuite faire un tour dans le centre historique de la ville qui est tout petit tandis que Julie reste à l'auberge : les deux chats avaient sûrement besoin d'une pause mutuelle. Nous partons ensuite tous vers la station de bus mis à part Vanessa et Leila que nous embrassons et espérons revoir vendredi avant qu'elles repartent, puisque nous revenons une demi journée à Colonia avant de repartir samedi dans la capitale. Nous filons donc avec ces trois mecs pour prendre le bus. Le trajet de bus passe relativement rapidement, les deux chats trouvant la vie plutôt belle tout en chantant le fameux : "quand vient la fin de l'été....sur la plaaaaageeee!" De notre cher et tendre petit Laurent Voulzy. Trajet dans le bus à écouter de la musique tranquillou avant d'arriver à Montevideo. Nous arrivons tous les 5 et prenons le bus direction : la maison de nos deux potos bretons. Quel bonheur d'arriver dans une ville, dans un appart tranquille, sans se poser de question. Petites bières, petites courses pour le dîner... Musique, papote, enfin la belle vie quoi. Que demande le peuple ?
L'envie de faire pipi de Petit Chat est bien plus forte que le sommeil et, c'est connu, une fois réveillé : impossible de se rendormir. Il n'est pas encore 9h lorsque les deux sœurs s'assoient à la table du petit déjeuner, chocolat chaud (ça faisait tellement longtemps!!) en mains ! Notre ami Emeric, un des deux breton, nous tient compagnie et Florent, surnommé Pepino à cause de sa tête de concombre (cela nous a fait beaucoup rire hier d'apprendre ce surnom!), nous rejoint encore à moitié endormi. Nous riions sans cesse encore pendant ce petit déjeuner, ça n'arrête pas depuis hier soir : ces deux trentenaires que l'on a tendance à prendre pour un couple, à tort, sont de vrais clowns. Et je vous assure les amis, le rire n'est pas uniquement bon pour les abdos mais surtout pour le moral. Et le moral nous l'avons ! Fanny trouve que Chatoune est plutôt dans ses pensées en ce moment cela dit. Confirmation de la grande quand a la remarque de la petite! Nous finissons ce petit déjeuner fort agréable avant de remonter dans nos chambres. Il nous faut maintenant faire... Roulement de tambours.... Vous allez être surpris.... Tintintintiiiiin..... Le... CHECK OUT !!! Ahah, on se brosse les dents, on s'habille, on boucle les sacs, on paie, on laisse les sacs à l'accueil ; bref, comme d'hab quoi. Bon ok, j'omet de parler de notre petit quart d'heure américain qui annonce l'ambiance de la journée et qui nous a fait bien rire ! À peine sortie du petit déjeuner et avant la fameuse "opération Check out" du jour, les deux chats se mettent à faire une soirée mousse (sans mousse) en soutient gorge, dans le dortoir (je précise que personne d'autre ne se trouve dans notre dortoir!), et dansent l'air de rien sur leur musique du voyage : get Free de major lazer que je vous conseille d'écouter ! Bref, cet épisode épisodique (hihi) passé, les deux chats partent à la pêche aux tickets de bus pour montevideo. Du à une poucinite (tendinite du pouce) nous avons décidé d'arrêter le stop. Non je déconne ! (Quel humour aujourd'hui mes petits, quel humour!). Pour redevenir sérieuse, je vous expliquerais plutôt que nos deux gentils bretons nous ont proposé de nous loger pendant notre séjour à montevideo et plutôt que de se galerer à faire du stop alors que le bus ne coûte rien et que nous n'avons pas à payer l'auberge, nous préférons profiter de la journée ensoleillée et de ne partir qu'en début de soirée. Retour à l'auberge, nous papotons avec nos nouveaux potos : Vanessa l'uruguayenne, Leila la finlandaise, Victor l'équatorien et les deux petits bretons Emeric et Florent alias Papito y Pepino. Nous partons presque tous en vélo, prêtés par l'hostel, tandis que deux prennent la moto que Victor a loué. Les vélos, les enfants, sont réellement bien pourris. Du genre "pourris de chez pourris" ! Au bout de 5 minutes de pédalage artistique, car oui cela relève de l'art, Julie déraille et se voit obligée de monter à l'arrière de la moto avec les deux autres. Quant au vélo de Fanny c'est simple : la selle est si basse qu'un nain de jardin pourrait monter dessus, le guidon ne tourne absolument pas, les freins de fonctionnent pas et la selle se tournent vers l'arrière. Malheureusement la petite n'a ni un derrière en polystyrène pour supporter la selle, ni des pieds élastiques pour pouvoir freiner et dépense énormément d'énergie rien que pour tenir sur ce vélo. Ceux des autres ne sont pas beaucoup mieux et la destination n'est pas tout près. Nous allons voir des arènes! Arrivés à 5 mins des arènes après un trajet laborieux mais plutôt rigolo, sous le soleil, nous nous posons un peu sur la magnifique plage de colonia avant de repartir voir ces fameuses arènes. Super balade ! Nous rentrons par la suite à l'auberge, nous deux sur la moto car nous avons décidé que l'on ferait plusieurs tours en moto pour ramener tout le monde car l'allée était un peu laborieuse. Nous rentrons donc acheter de quoi déjeuner. La viande est tellement pas cher et bonne que nous prenons une bonne entrecôte avec une salade verte et quelques petits légumes : ce qui ne nous coûte pas beaucoup plus que 5euros. Nous rentrons cuisiner ce festin, accompagné du maté, fameux compagnon de voyage de Fanny ! Fanny part ensuite faire un tour dans le centre historique de la ville qui est tout petit tandis que Julie reste à l'auberge : les deux chats avaient sûrement besoin d'une pause mutuelle. Nous partons ensuite tous vers la station de bus mis à part Vanessa et Leila que nous embrassons et espérons revoir vendredi avant qu'elles repartent, puisque nous revenons une demi journée à Colonia avant de repartir samedi dans la capitale. Nous filons donc avec ces trois mecs pour prendre le bus. Le trajet de bus passe relativement rapidement, les deux chats trouvant la vie plutôt belle tout en chantant le fameux : "quand vient la fin de l'été....sur la plaaaaageeee!" De notre cher et tendre petit Laurent Voulzy. Trajet dans le bus à écouter de la musique tranquillou avant d'arriver à Montevideo. Nous arrivons tous les 5 et prenons le bus direction : la maison de nos deux potos bretons. Quel bonheur d'arriver dans une ville, dans un appart tranquille, sans se poser de question. Petites bières, petites courses pour le dîner... Musique, papote, enfin la belle vie quoi. Que demande le peuple ?
Mardi 15 avril
Outch, ça y est, il est 6h du mat et quand le réveil sonne il nous faut vite ranger nos sacs et s'habiller. Et oui, Cony partant à 6h45 pour le boulot ce matin, elle nous avait fait la requête d'être prêtes à partir à cette heure la pile! Ok ok, on s'exécute et à 6h45 pétantes, les sacs à dos sont prêts et les manteaux sont mis. Nous attendons Cony qui n'émerge qu'à 7h et au final ne partons qu'à 7h20. Grrrrrr, une demi heure de sommeil en plus ça n'aurait pas fait de mal..mais bon on est de bon poil ce matin et contentes de partir pour l'Uruguay. On dit au revoir au couple et on prend un taxi direction le terminal de bateaux. On retrouve le désormais devenu habituel enregistrement puis sécurité puis service d'immigration et embarquement. Juste le temps de prendre un petit dej et on monte à bord pour 1h et demi de traversée. Nous arrivons donc en Uruguay aux alentours de 11h et il nous faut trouver un auberge. On se débrouille comme des chefs et celle repérée par le chef des opérations, j'ai nommé mademoiselle Jul, a de la place et n'est pas chère. C'est parfait, on prend et on s'installe avec la joie de retrouver une ambiance plus zen et joyeuse, le soleil en plus est de la partie. On fait quelques petites courses et on se prépare un déjeuner du tonnerre : aiguillettes de poulets grillées, riz graines de lin et petits légumes mijotés. Un délice ! Bon c'est pas tout mais il nous faut faire la vaisselle, ah tiens, il nous semble que ça parle aussi français dans la cuisine. Moment donc de faire la rencontre de Florent et d'Emeric, deux bretons de Quimper qui sont en train de monter leur restaurant dans la capitale uruguayenne Montevideo. Ils ont 40h précisément de vacances et en profitent pour passer un peu de temps dans la petite ville tranquille de Colonia. Bretons et normandes s'entendent très rapidement, les deux compères nous expliquent qu'ils vont donc monter un restau français d'ici peu avec à la carte crêpes, pizzas et bonnes salades. Oh des crêpes, Miam Miam ! Bah si vous voulez les filles, on vous en fera ! Oh bah avec plaisir oui oui ! Nous voilà donc tous les quatre en train de rire et se délecter en pensée de tous les bons plats français. Sur ce, on décide donc de partir tous les quatre en vélo à la plage, mais malheureusement il n'y a que 3 vélos pour 4. Qu'à cela ne tienne, Julie sur le porte bagage, on roule vers la plage profiter du soleil qui chauffe quand même pas mal. L'eau est froide et surtout très sale, impossible de se baigner mais tant pis, on profite du cadre tout en discutant tranquillement. Ça rigole plutôt pas mal et le temps passe vite, il nous faut rentrer car nous avons prévu un petit rdv Skype avec les parents. D'abord maman et polo, ensuite papou, un petit rituel qui fait du bien et nous donne fait toujours tous beaucoup de bien. Une petite pause douceur et chaleur familiale.....ça requinque! Il commence à faire nuit quand nous terminons notre petite blablate et nous filons sous la douche avant d'aller boire un verre avec nos deux bretons. On se balade dans Colonia, c'est le milieu de semaine donc la ville est plutôt calme et il y a peu de monde dans les rues. Une petite ville tranquille mais vous vous imaginez bien que deux normands et bretons qui rigolent dans les rues ça crée quand même une sacrée ambiance. On se pose, malgré le froid et le vent, en terrasse, au bord de l'eau autour d'une petite bouteille de vin et nos discussions repartent. On rigole tellement qu'on ne sent pas trop le froid, mais la bouteille terminée on file rentrer à l'auberge. Les deux petits chats se préparent un petit dîner comme à midi et on dine tous ensemble. Autour d'un bon dîner, on fait également la rencontre d'une uruguayenne, une finlandaise en échange ici et un équatorien...c'est finalement si simple de se sentir chez soi ! Nous réalisons encore une fois que notre bien être dépend de peu si ce n'est des rencontres et d'une ambiance chaleureuse. Bon, un lit tout de même c'est pas mal quand même et Chatoune d'abord et petit chat ensuite, s'endorment comme des bébés.
Outch, ça y est, il est 6h du mat et quand le réveil sonne il nous faut vite ranger nos sacs et s'habiller. Et oui, Cony partant à 6h45 pour le boulot ce matin, elle nous avait fait la requête d'être prêtes à partir à cette heure la pile! Ok ok, on s'exécute et à 6h45 pétantes, les sacs à dos sont prêts et les manteaux sont mis. Nous attendons Cony qui n'émerge qu'à 7h et au final ne partons qu'à 7h20. Grrrrrr, une demi heure de sommeil en plus ça n'aurait pas fait de mal..mais bon on est de bon poil ce matin et contentes de partir pour l'Uruguay. On dit au revoir au couple et on prend un taxi direction le terminal de bateaux. On retrouve le désormais devenu habituel enregistrement puis sécurité puis service d'immigration et embarquement. Juste le temps de prendre un petit dej et on monte à bord pour 1h et demi de traversée. Nous arrivons donc en Uruguay aux alentours de 11h et il nous faut trouver un auberge. On se débrouille comme des chefs et celle repérée par le chef des opérations, j'ai nommé mademoiselle Jul, a de la place et n'est pas chère. C'est parfait, on prend et on s'installe avec la joie de retrouver une ambiance plus zen et joyeuse, le soleil en plus est de la partie. On fait quelques petites courses et on se prépare un déjeuner du tonnerre : aiguillettes de poulets grillées, riz graines de lin et petits légumes mijotés. Un délice ! Bon c'est pas tout mais il nous faut faire la vaisselle, ah tiens, il nous semble que ça parle aussi français dans la cuisine. Moment donc de faire la rencontre de Florent et d'Emeric, deux bretons de Quimper qui sont en train de monter leur restaurant dans la capitale uruguayenne Montevideo. Ils ont 40h précisément de vacances et en profitent pour passer un peu de temps dans la petite ville tranquille de Colonia. Bretons et normandes s'entendent très rapidement, les deux compères nous expliquent qu'ils vont donc monter un restau français d'ici peu avec à la carte crêpes, pizzas et bonnes salades. Oh des crêpes, Miam Miam ! Bah si vous voulez les filles, on vous en fera ! Oh bah avec plaisir oui oui ! Nous voilà donc tous les quatre en train de rire et se délecter en pensée de tous les bons plats français. Sur ce, on décide donc de partir tous les quatre en vélo à la plage, mais malheureusement il n'y a que 3 vélos pour 4. Qu'à cela ne tienne, Julie sur le porte bagage, on roule vers la plage profiter du soleil qui chauffe quand même pas mal. L'eau est froide et surtout très sale, impossible de se baigner mais tant pis, on profite du cadre tout en discutant tranquillement. Ça rigole plutôt pas mal et le temps passe vite, il nous faut rentrer car nous avons prévu un petit rdv Skype avec les parents. D'abord maman et polo, ensuite papou, un petit rituel qui fait du bien et nous donne fait toujours tous beaucoup de bien. Une petite pause douceur et chaleur familiale.....ça requinque! Il commence à faire nuit quand nous terminons notre petite blablate et nous filons sous la douche avant d'aller boire un verre avec nos deux bretons. On se balade dans Colonia, c'est le milieu de semaine donc la ville est plutôt calme et il y a peu de monde dans les rues. Une petite ville tranquille mais vous vous imaginez bien que deux normands et bretons qui rigolent dans les rues ça crée quand même une sacrée ambiance. On se pose, malgré le froid et le vent, en terrasse, au bord de l'eau autour d'une petite bouteille de vin et nos discussions repartent. On rigole tellement qu'on ne sent pas trop le froid, mais la bouteille terminée on file rentrer à l'auberge. Les deux petits chats se préparent un petit dîner comme à midi et on dine tous ensemble. Autour d'un bon dîner, on fait également la rencontre d'une uruguayenne, une finlandaise en échange ici et un équatorien...c'est finalement si simple de se sentir chez soi ! Nous réalisons encore une fois que notre bien être dépend de peu si ce n'est des rencontres et d'une ambiance chaleureuse. Bon, un lit tout de même c'est pas mal quand même et Chatoune d'abord et petit chat ensuite, s'endorment comme des bébés.